Le Bon Côté des Choses optimise vos courses et bien plus encore

Avant d’acheter une nouvelle voiture, un ordinateur, un appareil électroménager, ou même un jouet pour votre enfant, vous avez pris l’habitude de vous rendre sur Internet et de comparer. A partir d’aujourd’hui, Le Bon Côté des Choses va changer votre façon de faire les courses.

lebccComparateur un peu particulier, ce nouveau service web lancé par Thierry Ferrandiz, Anne-Laure Bringout et Rémy Amouroux, ne compare pas seulement les prix, il place les préférences qualitatives et comportementales du consommateur au cœur de son système. Assistant shopping du quotidien, le BCC est un comparateur de panier, il prend en compte l’ensemble des critères qualitatifs du consommateur : sa situation géographique, le temps dont il dispose pour faire ses courses, ses préférences qualitatives (produits locaux, bio, sans gluten, etc.). Dans les prochaines évolutions, on pourra même y intégrer ses coupons de réduction, ses cartes de fidélité…

Comment ça marche ?

Lire la suite sur Grenoble numérique.

My Little Paris, les bons plans et bien plus encore

Vous n’habitez pas Paris ? Dommage ! MyLittleParis.fr a de quoi vous faire regretter de ne pas vivre dans la capitale. Ventes privées, mode, déco, restos, insolite, culture, cadeaux, p’tits plaisirs… My Little Paris fourmille d’idées, astuces et adresses sympas. Le concept du site ? Deux fois par semaine, vous recevez, dans votre boîte mail, un bon plan sélectionné en toute subjectivité.

Fondée par Fany Pechiodat, My Littlec’est une équipe de dénicheurs de bons plans qui sévissent à Paris, mais aussi à Lyon et Marseille (eh ! pensez à nous, à Grenoble). Heureusement, pour ceux qui n’ont pas la chance d’habiter une grande agglomération, My Little livre aussi des infos et petits trucs dont on peut s’inspirer quelle que soit notre ville.

Et puis ces « toqués de bons plans », comme ils se définissent eux-mêmes, ont eu l’ingénieuse idée de décliner leur concept. My Little Web et My Little Kids (édition Paris et édition nationale) sont venus étoffés les éditions locales. J’avoue que je suis assez fan de My Little Kids, ses bons plans pour occuper les enfants le week-end ou durant les vacances, et son plein d’idées en tout genre pour bousculer sa routine de maman.

My Little Web s’inspire de ses grandes soeurs en proposant les idées tendances du web en matière de déco, mode ou cuisine.

Enfin, pour celles qui veulent préparer un mariage inoubliable et surtout décalé, My Little Wedding sera une bonne source d’inspiration.

Des bons plans sur écran, My Little Paris a décidé, fin 2011, de passer désormais au concret avec My Little Box. Chaque mois, moyennant un abonnement, vous recevez dans votre boite aux lettres (la vraie, pas celle de derrière votre écran) des cosmétiques et des petits cadeaux surprises.

Le concept de My Little connait un succès fulgurant avec plusieurs centaines de milliers d’abonné(e)s. A quant les prochaines villes ou déclinaisons thématiques ?

Et vous êtes-vous fans des newsletters de My Little Paris ?

MAJ 21/03/2012 :

My Little Paris est aussi présent sur iPhone avec les applications MyLittleParisMyLittleLyon, MyLittleMarseille.

R & Digital : développer le web en Rhône-Alpes

La région Rhône-Alpes compte nombre d’acteurs dans le domaine du web : entrepreneurs, start-ups, prestataires, web agency… Des événements web sont régulièrement organisés comme Web In Alps, à Grenoble, les apéro-entrepreneurs dans plusieurs villes de la région… Pourtant, Rhône-Alpes n’est pas identifiée comme une région active par rapport au web.

Partant de ce constat, une association s’est montée début 2012, Rhône-Alpes Web, dont l’objet vise à rendre plus actif et plus visible le web dans la région.

Elle a ainsi pour mission de :

  • Mettre en contact les acteurs du web en Rhône-Alpes (rechercher des partenaires ou des prestataires, identifier des compétences…)
  • Favoriser le partage d’expérience (bonnes pratiques, expertises, mentoring, …)
  • Faire émerger les compétences et les talents (pôle d’excellence, pépinières, incubateurs…)
  • Etre une porte d’entrée vers le web (pour les entreprises qui se dirigent vers le web, pour les entrepreneurs qui s’installent, pour les pouvoir publics, pour les étudiants…)
  • Exercer une influence et « évangéliser le web » (vis à vis des pouvoirs publics ou des entreprises)

R & Digital est le site web de l’association. Il référence les acteurs et manifestations du web dans la région.
Alors si vous êtes un acteur du web, entrepreneur ou tout simplement passionné, si vous voulez être tenus au courant des derniers événements web dans votre département, allez faire un tour sur R & Digital.


Avec minizou.fr, faites le plein d’idées sorties avec vos petits

Que faire ce week-end avec les enfants ? C’est une question que beaucoup de parents se posent chaque semaine. Les Isérois ont de la chance : minizou.fr recense les activités et idées sorties dans le département pour les enfants de 0 à 14 ans. 

Sorties nature et découverte, stages d’arts plastiques, découverte de musées, théâtre, cinéma, cours de cuisine, manifestations festives, activités manuelles ou plus sportives à faire en famille… Minizou.fr fourmille d’idées.

Rencontre avec Hélène Jusselin, fondatrice de Minizou, qui jongle entre le web et le papier pour ne rien nous faire rater de l’actu du jeune public en Isère.

 

Minizou, c’est d’abord un magazine papier. Pouvez-vous nous en dire deux mots ?

Le premier numéro de Minizou est sorti en décembre 2007. A l’époque, nous étions précurseurs en ce sens que personne, dans la presse, ne s’occupait du jeune public. L’objectif de ce magazine est en effet de favoriser le lien entre parents et enfants par les sorties.

Minizou est tiré cinq fois par an à 23 500 exemplaires et disponible gratuitement dans des dépôts spécialisés (cabinets de pédiatre, MJC, halte-garderies, bibliothèques, magasins de jouets et de vêtements pour enfants…). L’équipe comporte trois à cinq personnes car nous avons des contributeurs occasionnels. J’assure toute la collecte des informations, l’essentiel de la rédaction, la mise en page et le commercial. Nous sommes financés par la publicité exclusivement.

Il y a un peu plus d’un an, vous avez lancé le site web minizou.fr. Comment se positionne-t-il par rapport au papier ? 

Le site existe depuis le printemps 2010. L’on peut y télécharger tous les numéros de Minizou. Mais je l’ai aussi conçu avec la volonté d’apporter des informations complémentaires au papier. Je réalise une mise à jour hebdomadaire avec l’annonce des manifestations de la semaine ou des deux semaines à venir au maximum. Je ne suis pas dans la même logique que sur le papier où je présente l’agenda sur deux mois. Sur le web, je veux répondre à la question des parents : qu’est-ce que nous pouvons faire ce week-end ?

Nous avons aussi d’autres rubriques telles que « on a testé pour vous » avec des informations qui nous sont envoyées directement par les lecteurs.

De manière générale, sur minizou.fr, j’ai délibérément choisi de faire court, de produire des brèves avec des infos très pratiques : quel événement ? Quand et où se passe-t-il ? Combien ça coûte ? Mon site se veut avant tout une boîte à outils.

Avec quel prestataire avez-vous travaillé pour la conception ?

Le site a été réalisé entièrement en interne pour un budget de 500 €.

Combien avez-vous de visiteurs ?

Nous recevons en moyenne 2000 visiteurs par mois.

Les annonceurs vous ont-ils suivi sur le web ?

Depuis cette rentrée, nous avons effectivement quelques annonceurs sur le site. Certains communiquent déjà sur le magazine papier. Le site apporte un complément d’informations et un complément de revenus. Il reste avant tout un appui au magazine papier. Même s’ils consultent le web, les lecteurs apprécient d’avoir un support papier qu’ils peuvent consulter n’importe où. 

Quels sont vos projets pour minizou.fr ?

Mettre en place une newsletter afin d’informer les internautes des mises à jour hebdomadaires.

Sentiers-debattus.com : le réseau social des randonneurs

Lancé fin 2010, sentiers-debattus.com est un réseau social dédié à la randonnée non motorisée sous toutes ses formes. Christophe l’Her, Olivier Podio et Jérôme N., les trois fondateurs sont Grenoblois et issus du monde du web et des médias.

Rencontre avec Christophe l’Her qui revient sur le concept de sentiers-debattus.com, sur les projets à venir mais aussi sur les difficultés qu’ils ont rencontrées pour bâtir leur projet.

Présentez-nous d’abord votre site.

Nous sommes partis d’un constat : il n’existait pas de réseau social sur le thème de la randonnée et des loisirs de pleine nature. Nous l’avons donc créé. Nous avons voulu faire le Facebook de la randonnée ! Sentiers-debattus.com est dédié aux balades, promenades et randonnées et se veut intergénérationnel. Nous nous sommes inspirés entre autres du site On va sortir ! qui met en relation les gens sur une ville donnée et les aide à trouver des partenaires pour leurs activités. Sentiers-debattus.com vous permet d’organiser une sortie avec des gens que vous ne connaissez pas mais ayant une pratique similaire à la vôtre.

Vous visez les randonneurs confirmés ?

Surtout pas ! Notre site s’adresse à tout public et à toutes générations. Vous n’y trouverez pas que des sentiers de grande randonnée. Promenades, balades familiales ou urbaines, parcours découverte du patrimoine y ont toute leur place. Le terme randonnée a une connotation montagne, mais notre site est ouvert à toute randonnée non motorisée, VTT, cheval, raquettes… Le but est de faire des connaissances pour partager des itinéraires et partir en balade avec d’autres personnes partageant la même envie. Dans la réalité, le monde associatif lié à la randonnée est plutôt organisé par et pour les retraités. Grâce à notre site communautaire, nous voulons toucher tous les publics.

On trouve sur votre site de nombreux itinéraires, notamment dans les massifs de l’Isère, d’où vient le contenu éditorial ?

Si le département de l’Isère est bien représenté, cela reflète avant tout la réalité de notre réseau et la confiance que nous témoigne le Parc naturel régional du Vercors qui nous a fourni ses contenus. D’autres parcs naturels devraient nous rejoindre bientôt. La difficulté vient aussi de l’accès aux documents, du format numérique des données, de la mise à disposition des informations d’itinérances. Une problématique à laquelle on se heurte d’ailleurs quand on fait un peu de recherche est celle de la propriété intellectuelle des itinéraires…

Pour en revenir au contenu du site, chaque membre peut rentrer ses itinéraires, en créer un en cliquant sur la carte ou bien, s’il dispose d’un GPS, télécharger ses traces. Il peut ensuite enrichir sa randonnée par du texte, des photos localisées, etc. Et il peut bien sûr organiser une sortie en invitant d’autres internautes à s’y joindre.

Combien de membres actifs compte aujourd’hui votre site ?

Nous avons entre 3000 et 4000 membres inscrits et nous enregistrons plus de 500 visiteurs par jour. Mais tout le monde sait que pour trouver un modèle économique viable, il nous faudrait entre 15 et 20 000 visiteurs par jour.

Justement sur quoi repose votre business model ?

Notre modèle économique repose principalement sur deux axes : l’audience et l’affiliation. Les annonceurs proposent une offre que nous contextualisons, c’est-à-dire en rapport avec le type de pratique et le parcours consulté. Si l’internaute consulte un itinéraire de haute montagne, il ne se verra pas proposer des tongs ! Le système d’affiliation repose quant à lui sur le fait de payer uniquement lorsque l’on génère des ventes. Aujourd’hui, nous proposons trois catégories de produits :

  • les équipementiers (habillement et matériel)
  • les guides de rando, GPS et cartes de rando (IGN…)
  • les voyagistes comme Allibert et les accompagnateurs et guides indépendants

Quand prévoyez-vous d’atteindre le seuil de rentabilité ?

Nous pensions l’atteindre en 2 ans, nous avons dû revoir nos objectifs. Nous comptions notamment sur un partenariat avec la Fédération Française de Randonnée mais onze mois de négociation n’ont pas permis d’aboutir à un accord. Aujourd’hui, nous nous sommes organisés pour pouvoir tenir plusieurs années sans être rentable en limitant au maximum les charges.

Quelles sont les prochaines fonctionnalités que vous souhaitez développer ?

Notre objectif est d’assurer l’animation des clubs de randonnée. Les randonneurs pourraient ainsi découvrir les itinéraires proposés par les clubs, le niveau de difficulté, et s’inscrire aux sorties via notre site. C’est d’ailleurs ce genre de fonctionnalités que nous voulions développer avec la Fédération.

Une application mobile est-elle prévue à terme ? 

Nous avons bien sûr en tête le web mobile. Mais nous en sommes pour l’instant au stade de la réflexion. Il existe déjà de nombreuses applications dédiées à la randonnée. Nous nous posons donc la question : si nous créons une application, quel service rendrait-elle ?Nous cherchons donc « la » bonne idée.